Nous devrons combattre nos peurs, nos démons, nos angoisses
Nous aurons à lutter pour que rien ne trépasse
Nos échos intérieurs et leurs joies retrouvées
Nos tremblements de cœur de papillons égarés
Des regards, des lueurs, on chemine
Des adultes lassés, ados rebelles, on trépigne
Cette route est si belle, vertige des temps anciens
Cette échoppe est si douce, main dans la main
Cliché instantané, légèreté de ce baiser volé
Ultime photographie au grain légèrement suranné
Nous conservons à demeure ses amitiés sans impasse
Nous aurons à lutter pour que rien ne s’efface.
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