Corps abstraits hors de ces danses lascives
Au tempo de ces sourdes lumières
Grâce pédestre, des rondes inégales
Délectation des joviaux inconnus, regards fuyants
A la recherche vaine d’une diabolique étincelle du hasard
Tremblent, ces murs rendent l’écho
Aux cœurs égarés, arythmiques
Perles de sueur sur les fronts brûlants
Bouillants du désir des gorges chaudes de minuit
Tangue cette chaloupe de ses pas de côtés
Baisers exaltés qui la font à l’instant chavirer
Singulier soir d’été, où la sensualité enfin prend ses quartiers
Comentarios